Le Docteur ne va pas accepter de s’être trompé et va argumenter en s’appuyant sur sa mauvaise foi:
«– Mais encore voyons un peu.
– Hé! ce n’est pas lui qui est malade, c’est sa fille.
– Il n’importe : le sang du père et de la fille ne sont qu’une même chose ; et par l’altération de celui du père, je puis connaître la maladie de la fille. »
Molière -Le Médecin Volant
(Ce lazzo peut également être utilisé par tout personnage se faisant passer pour un docteur)